samedi 9 avril 2011

émile

 
Je me souviens que lorsque j’essayais de convaincre françois de prendre chez nous ce chat qui se jetait de la fenêtre du troisième étage d’un appartement parisien afin de protester contre l’étroitesse des lieux, j’avais avancé l’argument qu’il s’appelait émile, comme le sergent klinger.

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