Je me souviens adorer les éclairs au chocolat (et aussi
beaucoup d’autres gâteaux). Je les trouve toujours trop petits, mais n’ose pas
en acheter et surtout en manger deux, car mon éducation judéo-chrétienne qui
fait que toute la vie s’accompagne d’un sentiment de culpabilité ne le permet
pas. J’ai vu, une fois ou deux, des éclairs au chocolat à acheter au mètre (au
centimètre, faut pas exagérer non plus), mais j’avais trouvé l’idée un peu
vulgaire et le gâteau très moyennement bon. Je crois qu’en plus j’avais dû
acheter une quantité à peu près égale à la taille standard !
ah non, beurk, tout ce que j'ai toujours détesté gamine : les pâtisseries du dimanche dans leur horrible boîte en carton. Pour certains (dont tu sembles faire partie) c'était un bonheur, pour moi une punition. Mon père croyait toujours pourtant me faire plaisir en s'obstinant à rechercher le gâteau qui me ravirait...
RépondreSupprimerMartine : ben oui, c'est même tout ce que j'aimais du repas du dimanche. Et lorsque mon père venait me chercher à l'école, ce qui n'arrivait vraiment pas souvent, on s'arrêtait à la pâtisserie du coin (qui faisait un vrai coin) et il m'achetait une espèce de petit pot en carton doré rempli de crème et de petits morceaux de fruits confits. Je crois que je me souviens encore du goût.
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