Je me souviens que lorsque je suis allée pour la première fois à la gare à pied, je me suis sentie comme dans un film d’ozu. J'habitais là depuis une semaine et j'allais travailler pour la première fois en train. C'était tôt un matin d'été, il faisait doux, c'était agréable. Remonter la côte, en fin d'après-midi, en plein soleil fut plus difficile. Aujourd'hui, je suis habituée.