Je me souviens avoir rêvé que f. me peignait les cheveux. Je
suis au lit, enroulée dans les draps, j’ai les cheveux mouillés, il les démêle
sans me faire mal, ce qui me surprend. Du fond du lit, je sais que tous les
cotons tiges sont sortis de leur boîte. Je le sais à tel point que lorsque,
réveillée, j’irai dans la salle de bain, je serai étonnée de les voir tous bien
rangés. Et ce rêve m’apparaîtra alors seulement.
Je me souviens que lorsque quelqu’un se met à raconter ses
rêves, cela m’ennuie profondément ou m’incommode (pudeur - impudeur!) sauf quand
je fais partie du rêve !
Je me souviens que j’avais aimé lire Train de rêves, mais moins
Rêve je te dis.
Question
d’humeur du temps, probablement. Je crois qu’aujourd’hui, ce goût de lecture
serait inversé.
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